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dc.contributor.advisorPoyato Sánchez, Pedro
dc.contributor.authorPadilla Díaz, Alberto Román
dc.date.accessioned2019-03-01T08:41:24Z
dc.date.available2019-03-01T08:41:24Z
dc.date.issued2019
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10396/17995
dc.description.abstractEl cine de Roman Polanski siempre ha versado sobre los límites y fronteras que existen entre la fantasía y la realidad, poniendo en juego las psiques de sus atormentados personajes en casi cualquier género cinematográfico que se precie, desde el drama a la comedia, pasando por el terror o incluso el subgénero bélico. Sin embargo, cada director o autor que ha probado a transgredir esta frontera, lo ha hecho siempre empleando una mirada única, mediante una técnica o un elemento común que les diferencia; por ejemplo, Tim Burton lo hace desde una mirada más gótica, David Lynch emplea unos guiones e historias cada vez más “laberínticas”, etc… En cambio, las constantes sorpresas sobre la ecléctica gama de géneros con la que Polanski sigue trabajando a día de hoy, hacen más difícil establecer una línea o estilema visual que una su filmografía. Aún así, parece que sí hay un elemento que encadena visual y teóricamente la misma: la escenografía. Escenografía entendida no sólo como el conjunto de decorados y demás elementos espaciales que rodean a sus películas, sino las claves, significantes y significados de los mismos, pues son estas las que contribuyen a la riqueza visual del cine del director polaco. En su cine, nos encontramos ante una visión espacialmente pesimista y simbólica de lo que viven sus personajes, haciéndoles replantear incluso la noción sobre si mismos. Lo que da forma a un más que interesante y necesario ejercicio teóricopráctico acerca del programa escenográfico-psicológico de las películas del director francés. El punto de partida del que partirá el estudio será un cortometraje de 1958 (antes de que Polanski rodase cualquier película) titulado Cuando los ángeles caen (Gdy Spadaja Anioly, Roman Polanski,1958). A partir de las claves simbólico-espaciales que veamos en este corto estudiaremos su relación con una serie de películas importantes en la filmografía del director polaco como son Repulsión (Repulsion, Roman Polanski, 1965), La Semilla del Diablo (Rosemary’s Baby, Roman Polanski, 1968), El quimérico inquilino (Le locataire, Roman Polanski, 1976), Tess (Tess, Roman Polanski, 1979-1980) y El pianista (The pianist, Roman Polanski, 2002), creando un círculo escenográfico tan perfecto como las propias estructuras circulares de los guiones de Roman Polanski.es_ES
dc.description.abstractLe cinéma de Roman Polanski a toujours porté sur les limites ou les frontières entre le fantastique et la réalité, mettant en scène le psychisme de ses personnages dans presque tous les genres cinématographique que l’on peut apprécier: du drame à la comédie en passant par le film d’horreur ou le sous genre du film de guerre. Cependant, chaque réalisateur qui a entreprit de s’intéresser au passage de cette frontière l’a fait au travers d’un point de vue, d’une vision unique, au moyen d’une technique ou d’un élément qui les différencie, par exemple, Tim Burton s’y emploie avec un regard plus gothique, David Lynch met en scène des récits et des histoires toujours plus labyrinthique, ect. En comparaison, la surprise constante générée par la gamme de genres éclectique avec laquelle Polanski continue de travailler aujourd’hui, rend l’établissement d’une ligne ou d’un style visuel, pour qualifier sa filmographie, délicat. Pourtant, il y a un élément qui, visuellement et théoriquement, reste constant dans sa filmographie: la scénographie. La scénographie n’est, ici, pas seulement comprise comme l’ensemble des décors et autres éléments spaciaux qui apparaissent dans ses films, ce sont aussi les clés, les signifiants et les significations ce ceux-ci, car ce sont eux qui contribuentà la richesse visuelle du cinéma du réalisateur français. Si ces espaces se résumaient à des mots angoisse, oppression, claustrophobie, romantisme ou même existentialisme seraient présents dans la liste. Cela met en place une visión spatiallement pessimiste et symbolique de ce que vivent les personnages, leur faisant même repenser leur vision d’eux-mêmes. Ces éléments rendent possible un exercice théorique et pratique plus qu’intéressant et nécessaire sur le programme scénographique-psychologique des films du réalisateur. Le point de départ de l’étude será un court-métrage de 1958 ( réalisé avant que Polanski ne tourne un long métrage) appelé Quand les anges tombent (Gdy Spadaja Anioly, Roman Polanski,1958). À partir des clés symboliques-spatiales que nous y trouverons, nous étudierons leurs relations avec une série de film clés de la filmographie du réalisateur français tels que Répulsion (Repulsion, Roman Polanski, 1965), Rosemary’s Baby (Rosemary's Baby, Idem, 1968), Le Locataire (Le locataire, Idem, 1976), Tess (Tess, Idem, 1979-1980) et Le pianiste (The Pianist, Idem, 2002), créant un cercle scénographique aussi parfait que les structures très circulaires des écrits de Roman Polanski.es_ES
dc.format.mimetypeapplication/pdfes_ES
dc.language.isospaes_ES
dc.publisherUniversidad de Córdoba, UCOPresses_ES
dc.rightshttps://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/es_ES
dc.subjectPolanski, Roman, 1933-es_ES
dc.subjectCineastases_ES
dc.subjectCinees_ES
dc.subjectFilmografíaes_ES
dc.subjectEscenografíaes_ES
dc.subjectDispositivo escenográfico-psicológicoes_ES
dc.titleEl dispositivo escenográfico–psicológico en el cine de Roman Polanskies_ES
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/doctoralThesises_ES
dc.rights.accessRightsinfo:eu-repo/semantics/openAccesses_ES


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